J-M Cousteau

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LE MIROIR SACRE DU KOFUN de Cousteau

L'antares un bateau futuriste ultra perfectionné, une encyclopédie de la mer evolutive.235 animations 2D 3D, 325 séquences VIDEO, 2heures de vidéo. 10 films VR Réalité Virtuelle,3 heures de jeu. Jean Michel Cousteau Explorateur et Directeur de l'expedition.

Infographistes 3D dont Bernard Morel 2000
Réalisé par: Jean Montagne- Produit par l'agence: I-D-P - Distribué par: EMME Interactive

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N'est pas Cousteau qui veut !
Amateurs de plongée et de mers chaudes, voici venu le temps du Miroir sacré du Kofun

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Un cédérom superbe qui se mérite. Etre malin ne suffit pas à déjouer tous les pièges. Il faut aussi se montrer studieux. Attention, tenez-vous prêt à larguer les amarres! L'Antarès, version futuriste de la Calypso, s'apprête à partir en expédition. Destination: le Pacifique Sud. L'aventure démarre en compagnie de Jean-Michel Cousteau (le fils de qui vous savez). Quant à vous, vous êtes un aventurier (Chris Young) et vous ne vous faites pas prier quand il s'agit de relever un défi.A priori, le défi ressemble à une balade de santé en Micronésie. Il s'agit, à force de plongées, de déterminer le site idéal pour installer une station sous-marine d'observation. Mais, le hasard fait bien les choses, vous recevez un message en forme de SOS de la part d'un explorateur disparu. A vous de le retrouver en découvrant des épaves japonaises de la Seconde Guerre mondiale, en traversant des jungles inhospitalières, en défiant requins, crocodiles et autres explosions. On en passe et des meilleures.Avec beaucoup (mais alors vraiment beaucoup) de patience, vous parviendrez même à trouver le miroir sacré du Kofun, un étrange objet, qui, selon la légende, rend invincible son possesseur.Inutile de vous le cacher: ne s'improvise pas apprenti Cousteau qui veut. Savoir manier le bateau Antarès et surtout EDWARD (le magnifique ordinateur à visage humain qui regorge d'informations) demande de l'astuce et de l'imagination. Mais, une fois ce premier pas franchi (après quelques crises de nerfs), les satisfactions se succèdent. Les plongées offrent des séquences vidéo superbes et pleines de surprises. Quant à la promenade dans la jungle, mieux vaut avoir avalé une boussole à sa naissance si l'on ne veut pas terminer cinglé en tournant en rond.Pour ne pas finir gaga. Pour avancer dans le jeu, il ne suffit pas d'tre malin. Il faut également être studieux, car, sans les renseignements contenus dans l'encyclopédie d'EDWARD, mieux vaut aller se prélasser sur une plage. Cela en devient même irritant, quand il s'agit de classer les espèces pour savoir si elles sont communes, remarquables ou rares. On perd facilement des heures.Pour les plus pressés, avides d'avaler les cinquante heures de jeu au pas de charge, il reste toujours la solution de chercher les tuyaux utiles sur internet. L'adresse s'impose si on ne veut pas finir dans un établissement psychiatrique:http://www.emme.com/Jean-A. LuqueLe Miroir sacré de Kofun, Ed. EMME

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«L'avenir, c'est l'ducatif à travers le ludique» - Jean-Michel Cousteau, on vous connaît comme réalisateur ou producteur de films, notamment la série télévisée Le Monde sous-marin de Jacques-Yves Cousteau. Qu'apporte donc de nouveau le cédérom?- J'ai produit une cinquantaine de films, et j'ai toujours eu une frustration: le public est passif. Dans ma vie quotidienne, combien de gens ne m'ont pas demandé d'embarquer pour une expédition? Et ce n'tait pas possible. Avec le cédérom, c'est enfin accessible. Vous êtes un membre de l'quipage à part entière. Vous embarquez sur un navire virtuel du XXIe siècle, que j'aimerai construire, et, là, vous apprenez à naviguer, à plonger, à faire de la photo sous-marine... C'est l'interactivité totale.- Produire un cédérom, est-ce beaucoup plus difficile que de réaliser un film?- C'est tout autre chose. Avec mon équipe, nous avons dû apprendre toutes les technologies du cédérom et les intégrer. Il faut une plus grande discipline, et constamment garder à l'esprit le point de vue du joueur. Pour réaliser Le Miroir sacré du Kofun, nous avons travaillé pendant deux ans.- Cette aventure mélange les genres. Il y a un aspect éducatif et encyclopédique, et puis un aspect purement ludique. Où s'arrête le réel et où commence l'imaginaire?- Vous vous trompez, toute l'histoire est réelle. Le miroir du Kofun existe. Il a bel et bien été volé par un Japonais, qui voulait se protéger de la mort pendant la Seconde Guerre mondiale. La force de ce cédérom, c'est que tout en jouant, on apprend une quantité de choses. Il faut faire preuve d'astuce, lire toutes les informations réunies dans l'encyclopédie, pour parvenir au but. L'ducatif à travers le ludique, c'est ça l'avenir.
Propos recueillis par J.-A. L.

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